Le Chemin des Causses

 | Avril 2022, Saint Guilhem

Saint Guilhem-le-désert, étape du chemin d’Arles vers Compostelle, ce village classé parmi les plus beaux villages de France, Patrimoine mondial de l’Unesco m’attirait depuis longtemps, au même titre que Conques, il représentait une étape et une destination mythique pour le pèlerin et les marcheurs au long cours.

Je n’y suis pas arrivé par les sentiers mais par la route et le fameux pont du Diable, réputé pour être le plus vieux pont roman de France (11è siècle). Construit par les moines des abbayes d’Aniane et de Gellone qui contrôlaient les rives de l’Hérault, l’ouvrage traverse l’Hérault en son point le plus resserré. Au pied du pont, la plus grande plage d’eau douce du département marque la naissance des gorges de l’Hérault, véritable canyon creusé par le fleuve au milieu de la garrigue.

Le village est au pied du Larzac, au cœur du vallon étroit et encaissé de Gellone. Ce véritable joyau médiéval s’est développé autour de son abbaye fondée en 804 par un cousin de Charlemagne qui s’était retiré du monde dans un lieu reculé après s’être fait distinguer pour des faits d’armes. Le village doit ainsi son nom de « Guilhem » à celui qui donna vie au site, et son attribut de « désert » non pas à l’environnement minéral, mais à la retraite mystique et solitaire de cet illustre soldat. La légende raconte également que Guilhem, déguisé en servante a vaincu le géant qui terrorisait les villageois depuis son château dont les ruines dominent encore le vallon.

L’abbaye de Gellone abrite deux reliques auxquelles elle doit son rayonnement spirituel et sa vocation à être lieu de pèlerinage : une chasse ossuaire contenant les reliques de saint Guilhem, et un fragment de la Croix du Christ.  

Après avoir déambulé dans les ruelles étroites qui enserrent des maisons imbriquées les unes aux autres, on achève sa promenade par la place de la Liberté et son platane vénérable (165 ans, 6 mètres de circonférence pour 20 mètres de haut) et on met à rêver de devenir un Saute-Rocs (ou Saute-Rochers, habitant de Saint Guilhem).

Mais revenons en ce printemps 2022, où fasciné par le lieu et par les panneaux de randonnée qui partent en tout sens, je me fais la promesse de revenir pour un périple qui commencerait ou finirait là.   

Les jours suivant, j’ai dessiné sur la carte IGN une boucle de 4 jours, qui au départ de Saint-Guilhem emprunte le chemin du même nom en contresens pendant deux étapes pour rejoindre le cirque de Navacelles, immense dépression dans le relief karstique du Larzac puis rejoint le GR de Pays Le tour du Larzac Méridional à travers les Causses pour retrouver, dans son dernier tronçon, Saint Guilhem en passant au pied du Mont Saint Baudille.

Un itinéraire qui traverse une région peu habitée, une terre sauvage, morceau de cette France de l’hyper ruralité, de la diagonale du vide et des chemins noirs cher à Sylvain Tesson. Un territoire en bordure du parc national des Cévennes, du plateau du Larzac et de le montagne Séranne.

Alors que je cherchai un nom pour cette itinérance, le nom de Causse me vint tout simplement à l’esprit. Un causse est un plateau karstique, c’est à dire un paysage de roches calcaires touchées par l’érosion dans le sud et l’ouest du Massif central (les habitants sont dénommés caussenards).


 | Début mai 2023, Grenoble

Le mois de mai, à mi-parcours, n’a tenu que la moitié de ses promesses, si les jours fériés et les ponts sont bien là, le printemps tarde. Il pleut souvent, Je compte les jours pour rejoindre Saint-Guilhem et deux semaines à l’avance, ce qui n’est ni raisonnable, ni utile, je scrute chaque jour, fébrilement, les prévisions météo. Et à l’image des jours précédents, elles ne sont pas terribles, les sites affichent une alternance de nuages, d’averses et de soleil et moi j’oscille aussi.


| 17 mai 2023 , Saint Guilhem

Pour ce premier jour, le soleil est au rendez-vous et la montée en calade (chaussée pavée de galets fluviatiles ou empierrée de pierres calcaires) vers le château du Géant qui surplombe le village nous incite à enfiler le short. Le chemin serpente entre la garrigue et prends doucement de la hauteur sur des combes sauvages. Derrière nous, Saint Guilhem, au bout de son vallon, s’éloigne puis disparaît.

Il est peu plus de 11 heures, quand on croise le panneau qui indique Notre Dame de l’Ermitage. A l’entrée du lieu, un oratoire abrite une Vierge. Sur le muret et à l’intérieur chacun y dépose une pomme de pin ou un caillou, le notre rejoint les autres.

Un peu en contrebas, une aire de pique-nique a été aménagée. Un panneau sur le portail précise qu’il faut respecter le silence pour ce lieu propice à la prière et à la méditation. Il est indiqué aussi qu’on peut y accéder de 11 à 16 heures, la chance nous sourit. On pose les sacs à dos pour la pause déjeuner. J’en profite pour monter à la petite Chapelle Saint Joseph posée contre le rocher.

L’édifice du 14ème siècle est complété par une extension de 1860 qui abrite l’ermite que l’on aperçoit très rapidement quand il ouvre des volets. Il se dégage une impression de sérénité, il faut dire qu’on peut accéder à l’ermitage qu’au bout d’une ou deux heures de marche. Sur le livre d’or, quelqu’un a demandé si un stage était possible, j’aurai aimé voir sa lettre de motivation.

Nous quittons à regret Notre Dame du Lieu Plaisant (il semblerait que l’ermitage porte plusieurs noms : Notre Dame de Belle Grâce (sur les cartes IGN), Notre Dame de l’Ermitage et Notre Dame du Lieu Plaisant.

Le sentier grimpe doucement vers le Cap du Ginestet d’où la vue est sublime. Pourquoi ce nom de Cap ? Peut-être pour le vent qui souffle sans retenue ou pour le panorama incroyable sur la garrigue ?

Un peu plus loin, j’aperçois au loin, une silhouette féminine et sportive qui avance d’un pas rapide. A quelques mètres de nous, on peut distinguer une couronne de cheveux blancs. Elle s’arrête, difficile de lui donner un âge mais probablement plus de 70 ans. Sur son dos, un petit sac à peine rempli, sur le côté de celui-ci, deux bouteilles en plastique. Elle nous demande d’où nous venons, où nous allons. Elle nous confie alors marcher depuis chez elle, en Ardèche et ne pas savoir où elle allait précisément, elle se laissait guider par le hasard. Nous aurions mille questions mais chacun reprend sa route.  J’ai toujours eu une fascination pour ces marcheurs au long cours pour qui chaque jour est une véritable aventure, pour ces navigateurs de sentiers qui improvisent chaque soir un port. Difficile de ne pas penser à Rimbaud : Je m’en allais, les poings dans mes poches crevées …

Le sentier nous amène sur une draille bordée de murets vers le hameau des Lavagnes qui annonce la couleur pour les randonneurs, -pas d’eau pendant des kilomètres-. Après une sieste improvisée, le sentier se fait raide. En chemin, le charmant gîte du Mas Aubert qui était déjà complet quand j’avais préparé à l’avance l’itinéraire.

Le chemin s’élargit en sous-bois puis rétrécit sur une crête qui déroule un paysage immense, à l’horizon, une montagne imposante, un pic dont je ne connais pas le nom.

 La flore y est incroyable de diversité. Le thym serpolet et le chèvrefeuille embaument le sentier.  Un peu plus loin des randonneurs nous annoncent plus d’une heure et demie pour arriver à destination. On accélère le pas. Il semblerait que le temps affiché par la trace soit optimiste, voilà bien un des travers des applications, qui par ailleurs, sont très efficaces sur le terrain pour ne pas se perdre.

Soudainement des coassements nous alerte, à quelques pas du chemin, les fameuses lavognes.  Ces mares en forme de cuvette, disposent d’une pente douce. Bâties en pierres, parfois sur une cavité naturelle, elles sont souvent jointées au ciment pour résister aux sabots des animaux. Elles sont donc artificielles mais d’une utilité cruciale. C’est évidement la pause photo et la séance de pêche à la grenouille pour Camino (le chien) qui reviendra bredouille, ouf.

Une dernière longue montée nous amène au sommet (et sa croix) qui domine le Cirque de la Séranne. Le dernier tronçon raide est exténuant avec ses pierres qui roulent sous les pieds. Avec la fatigue, les jambes flageolent. On aperçoit la ferme des Natges auquel on accède par un chemin étroit, derrière les clôtures, des vaches de l’Aubrac nous observent.

Il y a plus de 40 ans, le paysan acheta le hameau tout entier (7 ruines) et ses 400 hectares de terrain avec comme projet de le rénover entièrement. La réforme de la Politique Agricole Commune de 1992 et les difficultés ont limité ces prétentions. Depuis des années, on lui annonce des sommes folles pour racheter l’un ou l’autre des bâtiments dont il ne reste que quelques pierres, il refuse, Les Natges doivent rester ce qu’elles sont.

La ferme posée un peu en surplomb d’une large Combe des Natges propose aux randonneurs des chambres et le couvert. La vue depuis la terrasse est inoubliable, avec à perte de vue le troupeau dans une quasi-liberté. On nous expliquera qu’elles disposent de centaines de kilomètres carré pour divaguer, « une bien belle vie de vache » selon l’agriculteur.

Après une bonne douche et un peu de repos, on s’attable devant une soupe maison. Très âgés, le couple nous confie renoncer prochainement à leur activité d’hébergement, le chemin de Saint Guilhem serait alors détourné vers la Vacquerie Saint Pierre, la destination de notre troisième étape.

Un groupe de 4 randonneuses arrivé un peu avant nous partage notre repas. A la retraite, elles se retrouvent tous les ans pour marcher ensemble depuis 20 ans. Elles ont sillonné ainsi la France et même le Népal. On échange sur le chemin de Saint Guilhem, la météo, les chemins de l’Aubrac… Le temps semble suspendu, l’info en continue a disparu.

| 18 mai 2023, Les Natges

Après un petit déjeuner à la confiture maison, on reprend le chemin, non sans se tromper de sens pendant un quart d’heure. C’est fou comme un sentier pris dans un autre sens est parfois méconnaissable, nous avons heureusement reconnu la barrière pour le troupeau à son système de fermeture, demi-tour donc.

C’est alors la longue traversée de la Combe des Natges, où l’on croise une vache fugueuse qui à notre vue se dépêche de rejoindre son pré en sautant allégrement au-dessus d’un bout de clôture abimée que la coquine avait bien repéré.

Après une monte un peu raide et encombrée par des branches, nous arrivons sur le plateau, non sans se perdre au milieu des chevaux, le balisage du chemin quand il est pris en sens contraire n’est absolument pas évident.

Après un chemin parfaitement rectiligne sur le Causse où l’horizon semble infini, la longue descente en lacets commence pour accéder aux gorges de la Vis. La descente est raide, pierreuse, la vue est spectaculaire et évoque le Verdon. La rivière à littéralement coupé le plateau en deux parties distinctes : Le causse du Larzac et celui de Blandas.

La Vis prend sa source dans le Parc National des Cévennes et parcourt 55 kilomètres avant de se jeter dans l’Hérault. Fait étonnant, elle disparaît subitement après le village d’Alzon pour couler de façon souterraine sur près de 10 kilomètres et ressurgir brusquement dans le site extraordinaire du Moulin de la Foux.

300 mètres de dénivelé négatif pour accéder à un chemin forestier en sous-bois qui, au bout de deux kilomètres longe un petit canal. Celui-ci construit au début du siècle dernier servait à alimenter en électricité le tramway de Montpellier. Une prise d’eau dévie une part de l’eau de la Vis un peu en amont du Cirque de Navacelles puis circule à flanc de colline. Nous déjeunons sur le muret du canal en dominant de quelques mètres le chemin et ses rares randonneurs.

Alors que je suis seul, torse nu, peu soucieux de mon début de bedaine et de ma peau blanchâtre, j’ai la malheureuse idée d’interpeller une jeune fille chargée d’un sac à dos plein comme un œuf qui progresse vers moi. Une fois à ma hauteur, je lui demande si elle » fait le chemin ». La pauvrette, désemparée, apeurée, bredouille « euh, oui, euh en fait non… » et décampe en vitesse et moi je reste là, planté, stupéfait, moi aussi.

La piste devient sentier, la sente se fait vertigineuse, escarpée et s’enroule t autour des falaises calcaires immenses.

Au bout de quelques kilomètres en surplomb de la Vis, au sommet d’une colline, on aperçoit enfin Navacelles, petit village au fond de son cirque.

Le cirque de Navacelles est large de 1,4 km et profond de 300 m. La rivière a déposé au fil des millénaires des strates de dolomie qui forment désormais la corniche du cirque, et du calcaire sur ses versants. Puis, progressivement, le soulèvement du causse a provoqué l’enfoncement de la Vis, donnant naissance au cirque de Navacelles.

Deux panoramas à couper le souffle se font face de part et d’autre du cirque : ceux du belvédère de la Baume Auriol, côté Hérault, et du belvédère de Blandas, côté Gard.

Au fond du cirque, en réalité un canyon creusé par la Vis, un méandre abonné de la rivière dessine une boucle. En son centre s’élève une butte, appelée « l’huître » en raison de sa forme allongée, une Vierge accueille le visiteur à son sommet.  

Le village est composé de deux hameaux, au pied d’une premier, une imposante et majestueuse cascade. Les ruelles charrient leurs lots de randonneurs et si, Navacelles, n’a qu’une vingtaine d’habitants, les visiteurs sont très nombreux à la belle saison. Il faut dire que le site est exceptionnel, la Vis, peut-être une des plus belles rivières de France (truites, aigle royal et loutres) est enjambée par un magnifique pont romain.

L’auberge de la Cascade est un charmant établissement posé contre le rocher, celui-ci affleure d’ailleurs dans notre chambre. La soirée est en partie monopolisé par le fameux Chemin du Facteur, ancien chemin muletier utilisé pour le transport du blé qui doit nous extirper de ce cirque (qui pourrait accueillir la tour Eiffel). Un panneau annonce 2 heures d’ascension et classe le sentier comme difficile. Chacun, le soir, y allant de son avis, on ne peut que redouter.

| 19 mai 2023 , Navacelles

 Deux heures, cela parait énorme. A 8h30, on entame à la sortie du village, le fameux sentier. A chaque nouveau virage, on s’attends à découvrir une vire vertigineuse, un cheminement escarpé mais point de danger ou très peu, juste une ascension sur un chemin bien aménagé, suffisamment large, bien en deçà, par exemple, des fameux pas du Vercors qui permettent depuis les Balcons Est de monter sur le plateau.

Pas étonnant donc d’arriver sur le fameux belvédère de la Baume Auriol en moins de 50 minutes. La vue panoramique est tout simplement incroyable, le cirque de Navacelles est là, 300 mètres plus bas. Les photos ont peine à retranscrire la beauté du site.

Cette troisième étape doit nous amener jusque-là Vacquerie Saint Pierre. Le trajet initial, tracé sur une application passait par la route, la carte n’affichant aucun sentier, en dehors de quelques chemins noirs, traits inaboutis. Mais la chance nous sourit, et au bout de deux kilomètres, un sentier nous invite à quitter la route et de rejoindre Saint Maurice de Navacelles.

J’en profite pour évoquer le balisage quasi absent du Chemin de Saint Guilhem. Un panneau au début, un panneau à la fin et basta ! Juste quelques cairns, quelques traits et croix sur les arbres et des pierres, une aventure, ce parcours !

| 20 mai 2023, La Vacquerie

Après un sublime repas au Bistrot du Larzac et une bonne nuit de sommeil, nous repartons en traversant le village vers un sentier en sous-bois qui envoie tout de suite, du lourd, de bon matin. Une fois arrivé sur la crête, on enfile les shorts, le soleil est là mais de nouveau, des orages sont annoncés pour le milieu d’après-midi. L’étape finale du jour annonce 23 km et plus de 6 heures de marche. On profite du parcours relativement plat pour avancer rapidement. Il est un peu plus de 11 heures quand on arrive au pied du Mont Saint Baudille qui, à l’extrémité sud-ouest du massif de la Séranne marque le rebord méridional du causse du Larzac.

Au sommet (848 m d’altitude), une antenne TDF de 70 mètres de hauteur et surtout une vue remarquable à 360°. On s’y attarde un peu pour contempler au loin la mer tout au bout de la plaine de l’Hérault. Il ne nous reste plus qu’à descendre jusque Saint Guilhem dans les heures qui suivent. Depuis le sommet, le chemin chemine agréablement, la descente est rapide. Un bout de route, un bout de chemin forestier pour quitter le tour du pays du Larzac Méridional et rejoindre la Grande Traversée de l’Hérault.

On progresse au fond d’un ravin ombragé pour finalement débouler brusquement en haut du cirque de l’Infernet. Cette vaste échancrure est également appelée le Bout du Monde. Il faut s’imaginer une arrivée au sommet d’une gigantesque muraille de falaises calcaires qui enserrent un vallon sauvage. Le parcours (qui a été déclaré plus beau de sentier de l’Hérault) a été tracé au 18ème siècle par des moines de l’abbaye de Gellone, bâti en encorbellement, le site est tout simplement époustouflant. 

 

La pluie nous rattrape un peu, quelques centaines de mètres avant l’arrivée au village. On traverse les ruelles sous une pluie battante qui fait courir les touristes et nous sommes déjà triste de quitter le sentier.


| NOTES :

Pas d’eau du tout sur le chemin. Pensez bien à partir avec ce qu’il faut. Les sentiers sont fermés ou en accès limité (jusque 11 heures) l’été. Les mois de mai , juin, septembre et octobre semblent donc idéaux pour effectuer cette boucle de 4 jours et/ou les autres itinéraires ( Chemin de Saint Guilhem et Tour du Larzac méridional).

| INFOS :

L’itinéraire (les liens Open Runner vous permettront de visualiser le parcours et de télécharger les traces GPX):

Jour 1 19.05 km, D+ 754, D- 380

https://www.openrunner.com/route-details/16833618

Jour 2 18.69 km, D+541, D- 273

https://www.openrunner.com/route-details/16833611

Jour 3 19.64 km, D+540, D-236

https://www.openrunner.com/route-details/16833604

Jour 4 20.86 km, D+393, D-895

Total 78.24 km, D+2288, D-1784

https://www.openrunner.com/route-details/16833640

| LES HEBERGEMENTS :

Il n’est pas aisé de bivouaquer sur le chemin de Saint Guilhem, les lieux de bivouac n’étant pas toujours évidents à dénicher. Le manque d’hébergement sur le parcours justifie, hélas, des prix assez élevés.

Etape 1 La Ferme des Natges, pas de site internet, ouvert du lundi au mercredi 24 mai 2023

Etape 2 L’auberge de la Cascade à Navacelles 

https://www.auberge-de-la-cascade.fr/

Etape 3 :  Le gîte de Pousse Combe à la Vacquerie (à noter qu’il y a un camping)

http://www.gite-pouss-combe.fr/

| SITES UTILES

Chemin de Saint Guilhem

https://chemin-st-guilhem.fr/

Tour du Larzac méridional

https://www.gr-infos.com/grp-larzac.htm

Un commentaire Ajouter un commentaire

  1. RAYMOND dit :

    Merci pour ce récit. Très intéressant. Bien écrit et de très belles photos. Ça donne envie.

    J’aime

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